Les pertes et dommages sont une disposition de l’Accord de Paris pour aider les pays les moins développés et les États insulaires au-delà de l’adaptation au changement climatique. Ces derniers ont aussi besoin d’aide face aux catastrophes naturelles comme les inondations, les ouragans et typhons, et les sécheresses extrêmes. Comme l’a révélé Petra Tschakert, professeur à l’Université Western Australia, durant un événement organisé par le réseau mondial des universités : « les pertes et dommages dans le contexte de l’Accord de Paris concernent bien plus que les dommages environnementaux ».